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Nous nous sommes levés tôt pour chercher un hôtel. Celui ci étant trop bruyant nous préférons mettre les voiles. Et puis pour se déculpabiliser on se dit que c'est nos vacances, on a quand même le droit de se faire plaisir!
Il est 7 heures quand nous partons de l'hôtel. Nous avons laissés nos valises dans la chambre au cas où les autres ne soient complets on risque d'y séjourner jusqu'à la fin. Les rues sont désertes. Les indiens ne sont pas matinaux.
Nous trouverons tout de même un rikscha.
Nous avons étés dans quelques hôtels mais ils étaient tous complets. finalement nous retournerons à Alankar Grandé même si nous savons d'avance qu'il n'y avait plus de chambre de disponible pour les deux dernières nuits. Nous réservons dans l'hôtel d'en face une chambre pour y finir le séjour au cas où.
Après moultes péripéties nous arrivons avec bonheur à notre hôtel. Nous avons cette fois une chambre avec fenêtre.
Nous courrons au buffet du p'tit dèj car au Merrina il n'y en avait pas de complet...
Nous sommes soulagés d'être enfin dans un endroit propre, calme et bien installer. Deplus le personnel y est très sympa.
Une fois rebouster nous sommes allés négocier quelques belles tenues indiennes, ainsi que des tentures. Au début nous avons sentit une certaine gêne du vendeur. C'était la journée!
Tout les hommes me regardaient fixement sans que je ne comprenne pourquoi. Nous demanderons finalement à notre vendeur si la tenue que je portais étais inadaptée. Je ne mettais pas rendus compte mais les longuies (paréo en coton) ne sont destinés qu'aux hommes! j'expliquai au vendeur qu'en France le paréo est très mode! Il ria beaucoup et nous aussi!
Les jours passent et nous arrivons à la fin du séjour. Nous avons chercher à plusieurs reprises du thé de Kotagiri ainsi que de l'encens. Mais personne ne nous comprenais.
Au bout de trois jours de recherches nous avons le regret de ne pas avoir acheter le thé à Kotagiri même.
En sortant de l'hôtel on aperçus notre rikscha, celui qui nous avait tant aidé.
Nous sommes heureux de le revoir, peut-être que lui va nous comprendre?
On lui donne RDV dans l'après midi pour faire nos courses et cadeaux.
Il sera là bien à l'heure!
Il nous trouva du thé de Kotagiri, de l'encens au supermarché. Ce n'est pas qu'il nous avais compris, mais cet homme est débrouillard! Dès qu'il ne comprenais pas il s'arrêtait demander aux passants susceptibles de comprendre l'anglais.
Et voilà choses faites on lui régla le triple de sa course avec en prime un Paquet de thé en remerciement de tout son dévouement. Nous avons passés notre avant dernière après midi comme étant l'une des plus belles. Elle fut géniale et pleine d'images splendides.
Il ne saura jamais tout le bien qu'il nous à apporter.
Cette homme était notre bonne étoile.
Nous avons passés nos dernières après midi dans le quartier, à prendre quelques clichés. Nous avons finalement eu le droit de conserver notre suite jusqu'à la fin.
Demain nous devrons quitter l'hôtel à midi alors que notre vol est prévus à 20h.
Il est 7 heures quand nous partons de l'hôtel. Nous avons laissés nos valises dans la chambre au cas où les autres ne soient complets on risque d'y séjourner jusqu'à la fin. Les rues sont désertes. Les indiens ne sont pas matinaux.
Nous trouverons tout de même un rikscha.
Nous avons étés dans quelques hôtels mais ils étaient tous complets. finalement nous retournerons à Alankar Grandé même si nous savons d'avance qu'il n'y avait plus de chambre de disponible pour les deux dernières nuits. Nous réservons dans l'hôtel d'en face une chambre pour y finir le séjour au cas où.
Après moultes péripéties nous arrivons avec bonheur à notre hôtel. Nous avons cette fois une chambre avec fenêtre.
Nous courrons au buffet du p'tit dèj car au Merrina il n'y en avait pas de complet...
Nous sommes soulagés d'être enfin dans un endroit propre, calme et bien installer. Deplus le personnel y est très sympa.
Une fois rebouster nous sommes allés négocier quelques belles tenues indiennes, ainsi que des tentures. Au début nous avons sentit une certaine gêne du vendeur. C'était la journée!
Tout les hommes me regardaient fixement sans que je ne comprenne pourquoi. Nous demanderons finalement à notre vendeur si la tenue que je portais étais inadaptée. Je ne mettais pas rendus compte mais les longuies (paréo en coton) ne sont destinés qu'aux hommes! j'expliquai au vendeur qu'en France le paréo est très mode! Il ria beaucoup et nous aussi!
Les jours passent et nous arrivons à la fin du séjour. Nous avons chercher à plusieurs reprises du thé de Kotagiri ainsi que de l'encens. Mais personne ne nous comprenais.
Au bout de trois jours de recherches nous avons le regret de ne pas avoir acheter le thé à Kotagiri même.
En sortant de l'hôtel on aperçus notre rikscha, celui qui nous avait tant aidé.
Nous sommes heureux de le revoir, peut-être que lui va nous comprendre?
On lui donne RDV dans l'après midi pour faire nos courses et cadeaux.
Il sera là bien à l'heure!
Il nous trouva du thé de Kotagiri, de l'encens au supermarché. Ce n'est pas qu'il nous avais compris, mais cet homme est débrouillard! Dès qu'il ne comprenais pas il s'arrêtait demander aux passants susceptibles de comprendre l'anglais.
Et voilà choses faites on lui régla le triple de sa course avec en prime un Paquet de thé en remerciement de tout son dévouement. Nous avons passés notre avant dernière après midi comme étant l'une des plus belles. Elle fut géniale et pleine d'images splendides.
Il ne saura jamais tout le bien qu'il nous à apporter.
Cette homme était notre bonne étoile.
Nous avons passés nos dernières après midi dans le quartier, à prendre quelques clichés. Nous avons finalement eu le droit de conserver notre suite jusqu'à la fin.
Demain nous devrons quitter l'hôtel à midi alors que notre vol est prévus à 20h.
