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Le p'tit déj ne passe pas, dans 3 heures nous décollons.
Le temps s'écoule à une vitesse, juste de quoi faire un petit tour et nous voilà devant l'avion.
Un dernier appel à ma mère. "As tu été à ma boîte aux lettres?" "Oui, et pas de code pour téléphoner"
On avait prévu de faire transférer nos appels sur notre ligne fixe histoire de pas se soucier d'exploser le forfait. Tant pis de toute façon Alex (mon chéri) voulais qu'on se coupe de la France, qu'on laisse notre vie française le temps du séjour.
A Francfort
Le temps s'écoule à une vitesse, juste de quoi faire un petit tour et nous voilà devant l'avion.
Un dernier appel à ma mère. "As tu été à ma boîte aux lettres?" "Oui, et pas de code pour téléphoner"
On avait prévu de faire transférer nos appels sur notre ligne fixe histoire de pas se soucier d'exploser le forfait. Tant pis de toute façon Alex (mon chéri) voulais qu'on se coupe de la France, qu'on laisse notre vie française le temps du séjour.
A Francfort
Nous embarquons...
Grâce à Manon nous avons eu des places plus spacieuses afin de pouvoir lui mettre le mini lit. L'hôtesse nous l'installa, au bout d'une demi heure, Manon dormait déjà! au bout de 5 heures elle fut réveiller par les pleurs d'une petite.
L'hôtesse oubli le repas de Manon, on demandera aux autres mais rien y fait elles oublient toutes notre petite.
Finalement la chef de cabine règlera l'incident une demi heure avant d'arriver.
La descente est amorcée et la peur au ventre m'envahie. J'ai envie de vomir pourtant je ne suis jamais malade en avion!
Il est 1 heure du mat heure locale et 20h30 en France. Nous sommes à Bangalore.
En sortant de l'avion je repère de loin notre poussette, un indien la regarde et s'en empare. Je lui prend des mains et lui dit que c'est à moi, il la lâche comme si de rien était.
La pesanteur nous oppresse, il a du monde partout! Les portiques de sécurité sonnent en discontinus mais personne ne s'en soucis. Un douanier nous fait signe de passer plus rapidement.
En attendant nos bagages, une dizaine de mecs veulent nous aidés mais nous refusons car nous devons reprendre un vol intérieur.
Va l'expliquer ils veulent rien savoir. On se dirige vers l'enregistrement et profitons pour donner le traitement anti palu à Manon. Elle hurle et n'en veux pas .Impossible de lui administrer même en la forçant!
Y a des gens partout, des panneaux portant une multitude de noms.
On s'est trompé de hall, on a fait la file pour rien, on repart.
Après avoir sillonnée l'aéroport de l'extérieur, on trouve porte close devant notre guichet.
Un militaire d'une cinquantaine d'années nous fait signe de dégager, son visage sévère nous impressionne mais Alex ne se démonte pas. Il lui explique tant bien que mal que nous avons un bébé, et qu'on va pas attendre dehors durant 3 heures!
Il s'en fou royalement et ne veut rien entendre.
Nous attendrons à l'écart, dehors, le coeur lourd. La peur de se faire piquer par des moustiques contaminer. Manon s'endormira malgré tout.
au bout de 3 heures on peux enfin attendre à l'intérieure. Je m'empresse d'aller aux toilettes, surprise wc turcs sans pq! Une odeur de vieille pisse, beurk!
L'aéroport se réveil, des appels incessants, l'écran des départs est mis à jour ligne par ligne. On voit la souris bouger au fur et à mesure.
Notre vol est annoncé! Bienvenue en Inde...
Grâce à Manon nous avons eu des places plus spacieuses afin de pouvoir lui mettre le mini lit. L'hôtesse nous l'installa, au bout d'une demi heure, Manon dormait déjà! au bout de 5 heures elle fut réveiller par les pleurs d'une petite.
L'hôtesse oubli le repas de Manon, on demandera aux autres mais rien y fait elles oublient toutes notre petite.
Finalement la chef de cabine règlera l'incident une demi heure avant d'arriver.
La descente est amorcée et la peur au ventre m'envahie. J'ai envie de vomir pourtant je ne suis jamais malade en avion!
Il est 1 heure du mat heure locale et 20h30 en France. Nous sommes à Bangalore.
En sortant de l'avion je repère de loin notre poussette, un indien la regarde et s'en empare. Je lui prend des mains et lui dit que c'est à moi, il la lâche comme si de rien était.
La pesanteur nous oppresse, il a du monde partout! Les portiques de sécurité sonnent en discontinus mais personne ne s'en soucis. Un douanier nous fait signe de passer plus rapidement.
En attendant nos bagages, une dizaine de mecs veulent nous aidés mais nous refusons car nous devons reprendre un vol intérieur.
Va l'expliquer ils veulent rien savoir. On se dirige vers l'enregistrement et profitons pour donner le traitement anti palu à Manon. Elle hurle et n'en veux pas .Impossible de lui administrer même en la forçant!
Y a des gens partout, des panneaux portant une multitude de noms.
On s'est trompé de hall, on a fait la file pour rien, on repart.
Après avoir sillonnée l'aéroport de l'extérieur, on trouve porte close devant notre guichet.
Un militaire d'une cinquantaine d'années nous fait signe de dégager, son visage sévère nous impressionne mais Alex ne se démonte pas. Il lui explique tant bien que mal que nous avons un bébé, et qu'on va pas attendre dehors durant 3 heures!
Il s'en fou royalement et ne veut rien entendre.
Nous attendrons à l'écart, dehors, le coeur lourd. La peur de se faire piquer par des moustiques contaminer. Manon s'endormira malgré tout.
au bout de 3 heures on peux enfin attendre à l'intérieure. Je m'empresse d'aller aux toilettes, surprise wc turcs sans pq! Une odeur de vieille pisse, beurk!
L'aéroport se réveil, des appels incessants, l'écran des départs est mis à jour ligne par ligne. On voit la souris bouger au fur et à mesure.
Notre vol est annoncé! Bienvenue en Inde...
